Rémi Segalas est un jeune artiste montant parisien connu pour sa palette douce et son trait fin réalisé à l’encre de Chine. Passé par une école d’Art graphique, il multiplie aujourd’hui les projets et expo collectives. Il ne faudra pas attendre longtemps avant que son talent traverse les frontières, bienvenu dans l’univers de Rémi Segalas.

Bonjour Rémi Segalas, d’où viens-tu ?
Je suis né dans le 14ème arrondissement de Paris, mais j’ai grandi entre la Sologne et les Pyrénées atlantiques.
Qu’est ce qui te donne envie de peindre ?
C’est un processus thérapeutique qui me permet de m’échapper, et d’évacuer mes peurs et mes joies. C’est ma plus solide force d’expression. Je me cache un peu derrière mon travail

Qu’est-ce que tu voulais faire quand tu étais petit ?
Instit’, comme ma mère.
Quels artistes t’inspirent ?
J’ai grandi avec les bandes dessinées d’Enki Bilal. J’adore son univers, son coup de crayon et sa palette de couleur. Je citerai aussi Egon Schiele, Françoise Petrovitch, Inès Longevial et Björk.

Comment en es-tu arrivé à cette technique aux encres et à l’acrylique ?
En Ecole d’Art à Blois. Le déclic, je l’ai eu quand nous dessinions dehors des croquis rapides de l’environnement des gens, évoqués et instantanés. L’encre et l’aquarelle étaient idéales pour moi.
Le portrait est ton thème de prédilection, qu’est ce qui t’intéresse dans ce travail ?
Je ne dirais pas que c’est mon domaine de prédilection mais un sujet. Naturellement, l’humanité est au centre de mon travail.

Quels sont les lieux les plus inspirants que tu as visité ?
Vienne et ses musées, et Paris.
Enfin, quels sont tes projets à venir ?
J’aimerai voyager en Asie et tenir des expositions personnelles.
